Après le Congrès fameux tenu à Gênes en 1892, la rupture entre socialistes-autoritaires et anarchistes devint définitive. Ce Congrès marqua dans l’histoire du parti socialiste italien une date importante et pour le mouvement anarchiste son vrai départ. Deux orateurs se signalèrent dans la défense du point de vue anarchiste : Luigi Galleani et Pietro Gori. Ce dernier — qui avait commencé sa vie militante dans les rangs de l’Internationale, à Livourne et à Pise — prenait depuis quelques (...)
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Italie
Articles
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Une vie de militant : Pietro Gori
1er juillet 2023, par Ugo Fedeli -
Les anarchistes italiens face au fascisme
10 mai 2022, par Giorgio Sacchetti« Quelle que soit la barbarie des autres, il nous incombe à nous anarchistes, et à nous tous hommes de progrès, de maintenir la lutte dans les limites de l’humanité, c’est-à-dire ne jamais faire en matière de violence plus que ce qui est strictement nécessaire pour défendre notre liberté et pour assurer la victoire de notre cause, ce qui est d’ailleurs la cause du bien-être de tous. » Errico Malatesta
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Annexe - « Tout n’est pas fini ! »
27 janvier 2020, par Umanità NovaDans l’après-midi du 20, Errico Malatesta, réclamé avec insistance, se rendait à l’atelier de Fibre Vulcanisée rue Monza à Milan, malgré la « fête nationale » on y travaillait ferme, comme du reste dans les autres ateliers occupés.
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Camillo Berneri (1897-1937) - Brochure PDF
19 octobre 2022, par Partage NoirLes brochures Partage Noir sont réalisées avec les logiciels libres #GIMP #Inkscape #Scribus
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VIII. Conseils à Turin (1919-1920) - L’action des conseils
20 janvier 2020, par Pier Carlo MasiniNous avons déjà parlé de l’origine des Conseils d’usine à Turin et de leur extension dans le Piémont où ces organismes avaient effectivement atteint un degré d’efficience élevé.
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VI. Conseils à Turin (1919-1920) - La polémique sur les conseils
18 janvier 2020, par Pier Carlo MasiniLe mouvement des Conseils se vit barrer la route en Italie par deux forces de l’ordre constitué : les groupes de la grande industrie et les hiérarchies syndicales confédérales.
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Considérations sur l’expérience de l’USI
27 août 2020, par Noyaux libertaires d’usines et d’entreprises de MilanLes imposantes luttes agraires de 1906 à 1908 représentent le mouvement qui détermine le passage du syndicalisme révolutionnaire interne à l’organisation de la CGL comme minorité révolutionnaire (comprenant des syndicalistes et des militants politiquement insérés dans un mouvement qui va de la gauche du Parti Socialiste jusqu’aux Anarchistes) à l’organisation alternative (d’abord Comité d’Action Directe puis USI).
Après la rupture et le départ des syndicalistes du PSI, les noyaux (...) -
L’USI au cours de l’après-Guerre 1949-1970
28 août 2020, par Noyaux libertaires d’usines et d’entreprises de MilanLes antifascistes en exil et surtout ceux qui sont contraints à la relégation s’accordent déjà en 1943 pour reconstruire à la chute du fascisme un seul syndicat unitaire ; un tel accord est pris entre les représentants des partis, des mouvements antifascistes et en conséquence aussi par les anarchistes, lesquels renoncent à la reconstruction de l’USI qui organisait avant le fascisme un demi-million de travailleurs. En fait, l’USI — dans un ingénieux hommage à l’unité syndicale, unité (...)
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Histoire de l’anarcho-syndicalisme italien - Préface
25 août 2020, par Noyaux libertaires d’usines et d’entreprises de MilanDepuis quelques années se développe au sein du mouvement libertaire une discussion serrée sur le syndicalisme tendant à indiquer une identité toujours plus retrouvée des anarchistes dans le mouvement des exploités : en eux, parmi eux, avec eux les idées libertaires sont nées et au-delà de leur réalité l’anarchisme meurt ou se réduit (pour parler comme les anarcho-syndicalistes de l’USI) à une pure philosophie, patrimoine de quelque élite intellectuelle.
Cette recherche sur l’Union (...) -
Ettore Molinari
2 juillet, par Luigi FabbriLes journaux italiens du 11 novembre ont annoncé brièvement que dans la soirée du 9 était mort, à Milan, d’une crise d’angine de poitrine, le Dr Ettore Molinari, professeur de chimie technologique à l’École polytechnique de celle ville, et aussi de mercurologie et de chimie industrielle à l’Université commerciale Bocconi et à l’Institut supérieur pour le commerce extérieur à Brescia.
Quinze jours auparavant, les mêmes journaux avaient donné un compte rendu d’une commémoration, faite par (...)