Mariano R. Vasquez était le Secrétaire général de la #CNT en Catalogne. #Durruti le rencontrera à Barcelone et s’entretiendra avec lui d’une possible dérive bureaucratique du syndicat.
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Buenaventura Durruti
Buenaventura Durruti Dumange est une des figures principales de l’anarchisme espagnol avant et pendant la révolution sociale espagnole de 1936. Jeune ouvrier mécanicien, Durruti déserte l’armée et s’exile en France.
Articles
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[BD-19] Mariano R. Vasquez (Barcelone, début août 1936)
28 octobre 2019, par Cyril -
[BD-11] Buenaventura Durruti (Barcelone, 24 juillet 1936)
20 octobre 2019, par CyrilMono kaki et bonnet de police à pompon (Gorillo), #Durruti présente l’archétype de l’ouvrier-combattant. Nommé par le Comité central des milices, il est responsable de la première colonne chargée de délivrer Saragosse.
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[BD-20] Garcia Oliver (Barcelone, début août 1936)
29 octobre 2019, par Cyril#Durruti rencontrera aussi l’anarchiste Garcia Oliver, membre du Comité central des milices et véritable « ministre de la Guerre », le pouvoir en moins.
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[BD-18] Le contrôle ouvrier (Catalogne, été 1936)
27 octobre 2019, par CyrilExcédé par les reports successifs de l’assaut contre Saragosse, #Durruti décide de monter sur Barcelone afin de mesurer l’avancement du processus révolutionnaire. #CNT
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Cahier d’un milicien dans les rangs de la CNT-FAI [06]
28 mars 2023, par Albert MinnigLa nuit vient, mais nous sommes peu rassurés, car des bruits de camions nous laissent supposer que les fascistes reçoivent du renfort. La nuit passe lentement en travaillant à de petites fortifications, tout en répondant aux fascistes qui tirent avec des balles lumineuses. Les camarades qui établit partis à la recherche du capitaine reviennent sans l’avoir trouvé.
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[BD] Au pays de Durruti - Mémoires catalanes 1936 [PDF]
9 octobre 2019, par Partage NoirPARTAGE NOIR - 2019
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[BD] 1936 - Le miracle de Madrid [01]
6 octobre 2020, par CyrilNovembre 1936. Remontant par le sud, légionnaires et marocains du général factieux Varela se heurtent, aux abords de Madrid, aux milices syndicales de l’UGT et de la CNT La tentative de putsch franquiste, commencée comme une simple balade militaire de type colonial, virait soudain au cauchemar...
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La Colonne de fer
16 avril 2022, par Nestor Romero« La Révolution espagnole ; on a beaucoup parlé de la Colonne Durruti, de ses activités, de ses responsables... mais, après une vaste campagne de dénigrement, une chappe de plomb semble s’être abattue sur la Colonne de fer : la plus intransigeante des colonnes, s’il en fut ; la plus hostile à l’entrée des camarades ministres au gouvernement ; la plus réfractaire à la militarisation des milices. Il y aurait beaucoup a écrire sur ses actions, comme par exemple son retour du front a valence, le 1er octobre 1936, pour s’emparer d’armes et munitions qui leurs faisaient cruellement défaut, en désarmant les corps de police de la ville... Il faudrait aussi aborder le projet de « hold-up » de la banque d’Espagne afin de ne pas répéter l’erreur commise par la Commune de Paris... Nous avons demande au camarade Nestor Romero, qui a réalisé une étude approfondie du sujet, de brosser, dans le cadre restreint de cette rubrique, un portrait rapide de la Colonne de fer. » (Agora n°3 - automne 1980)
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[12] Augustin Souchy - Buenaventura Durruti
14 juillet 2024, par Augustin SouchyComme secrétaire de l’AIT, j’entretenais des contacts étroits avec les anarcho-syndicalistes espagnols qui, sous la dictature de Primo de Rivera, menaient un combat commun avec la gauche catalane. Ce fut je crois en 1927, que le leader du mouvement autonomiste catalan, le colonel Francesc Macià i Llusa, nous rendit visite, dans l’espoir d’obtenir des aides financières pour le combat commun. Je dus lui ôter ses illusions, car l’internationale syndicale était financièrement peu riche. Il se (…)
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Durruti : De la révolte à la révolution
19 août, par Abel PazBuenaventura Durruti y Domingo, fils de Santiago — un cheminot — et d’Anastasia, naquit le 14 juillet 1896 à Léon.
A l’âge de cinq ans, il fréquenta l’école primaire, et à neuf ans le lycée de la rue Misericordia que dirigeait le professeur Ricardo Fanjul. L’appréciation que le professeur donna de Durruti, à la fin de ses études, fut :Élève doué pour les lettres, dissipé, mais aux sentiments nobles
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