Le 14, la Colonne Durruti, composée d’anarcho-syndicalistes catalans et aragonais entre, en partie, à Madrid. Durruti, véritable légende vivante, ne peut fournir qu’un renfort symbolique : moins de 2 000 volontaires. Mais l’impact psychologique est immense.
Le chef d’état-major de la Junte, Vincente Roto, compte bien profiter de cet avantage. Durruti doit tenir la Cité universitaire, véritable clef de Madrid.
Le bataillon franco-belge « Commune de Paris » (XIe Brigade internationale) participe à l’action...