La lutte se durcit. L’offensive franquiste est bloquée. Au milieu du chaos, brigadistes et anarcho-syndicalistes vont fraterniser. Mais l’hôpital reste aux mains des nationalistes.
Les 18 et 19 novembre, les miliciens anarchistes vont tenter de déloger les franquistes de l’hôpital-clinique. Échec. La Colonne Durruti, au bord de la dislocation, a perdu les 2/3 de son effectif (tués, blessés et disparus)... L’hosto est partiellement dynamité.