La XIe Brigade internationale et les anarchistes sont littéralement cloués au sol par ces militaires professionnels. Pire, une colonne marxiste catalane, venue en renfort, commence à faiblir : les troupes marocaines entrent dans la Cité universitaire.
Dans les ruines fumantes des labos, on se bat au corps à corps, en s’injuriant dans toutes les langues. Les internationaux hurlent... L’Internationale. Rojo ordonne la reprise du terrain perdu, pour le lendemain.