Boris Vian n’a jamais eu un statut d’écrivain reconnu. Il reste toujours pour les esprits obtus un « obsédé sexuel », auteur de récits sadiques (voir à ce sujet : Pierre de Boisdeffre dans les premières éditions de son Histoire vivante de la littérature). Rien ne lui a été épargné ; pour certains il était un métèque (russe ou arménien), un divorcé (ce qui m’arrange rien), un existentialiste (parce qu’il jouait de la trompette à Saint-Germain-des-Prés ?) qui n’avait aucun respect ni pour (…)
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