Sous ce titre Dernière visite au
Le Cri du Peuple, sous la signature de M. Chambelland, a publié l’article ci-après, plein d’intérêt et de souvenirs.Père Peinard
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CGT
Articles
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Dernière visite au « Père Peinard »
14 septembre 2022, par Maurice Chambelland -
Un de ceux qui firent la CGT : Paul Delesalle
29 juillet 2024, par Jean MaitronPaul Delesalle n’est plus. Le mardi 13 avril nous fûmes une trentaine — quelques compagnons des luttes d’antan et quelques amis — à l’accompagner au Père-Lachaise et l’on ne peut que regretter l’absence d’une délégation ouvrière à une telle cérémonie. Certes Chambelland avait été chargé d’apporter les excuses de Léon Jouhaux empêché, mais on eût aimé, et Paul Delesalle eût aimé, que d’authentiques prolétaires, délaissant l’usine ou l’atelier, soient venus dire adieu à l’aîné qui durant toute (…)
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[11] Fernand Pelloutier (1867-1901) - Pelloutier écrivain
8 avril 2020, par Georges YvetotJe ne m’explique pas qu’aucun camarade disposant de loisirs, ayant l’habitude de fouiller dans les bibliothèques, ne soit attaché à rechercher par quel laborieux effort de pensée Pelloutier réussit à se dégager du radicalisme, puis du socialisme politique, pour arriver au socialisme économique, au syndicalisme.
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[22] Augustin Souchy - Révolutionnaires de France
2 mai 2020, par Augustin SouchyLe mouvement syndical français était à cette époque le théâtre d’intenses débats. La formule « Le syndicalisme se suffit à lui-même », forgée en 1905 en réaction au racolage électoral de militants syndicaux au profit de partis politiques, avait conduit à l’élaboration d’une stratégie purement syndicaliste pour instaurer le socialisme.
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[12] Fernand Pelloutier (1867-1901) - Pelloutier écrivain
9 avril 2020, par Georges YvetotPelloutier était d’une souche bourgeoise, il était un intellectuel. Mais de quelle espèce rare d’intellectuels ! Sa pensée, son amour de la justice, l’avaient conduit dans les rangs du peuple ; il en a vécu toute la vie douloureuse : il s’est fait naturaliser prolétaire ; il est devenu ouvrier, prenant le composteur pour composer l’Ouvrier des Deux Mondes.
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Georges Yvetot (1868-1942) [03]
16 février 2020, par Victor Méric - FlaxEn 1887, à l’âge de dix-neuf ans, Yvetot sortit de son orphelinat et commença à exercer son métier. Il entra au journal la Patrie, où il travailla pendant sept ans. On lui a reproché quelquefois d’avoir fait figure de sarrazin, c’est-à-dire d’avoir travaillé à des salaires inférieurs et de ne pas s’être solidarisé avec ses camarades de classe.
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Plus loin : Emile Pouget
16 septembre 2022Du n°77 (septembre 1931), de Plus loin, dont notre camarade M. Pierrot assure la rédaction, ce bon article d’un raccourcit si évocateur qu’il ne laisse que peu à dire après .
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Georges Yvetot (1868-1942) [07]
20 février 2020, par Victor Méric - FlaxLe but des syndicats fut d’abord de lutter contre la tyrannie patronale et de lutter au jour le jour, pour obtenir de meilleures conditions de travail, des relèvements de salaires, des diminutions d’heures de travail, etc.
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Georges Yvetot (1868-1942) [05]
18 février 2020, par Victor Méric - FlaxAu contact de ce militant sincère et ardent qu’était Fernand Pelloutier, le jeune Yvetot comprit quelle tâche lui était réservée. Continuer l’oeuvre de son prédécesseur, organiser la classe ouvrière en syndicats et agir dans le sens révolutionnaire, telles devinrent ses préoccupations.
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Georges Yvetot (1868-1942) [04]
17 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl nous faut dire ici quelques mots sur Fernand Pelloutier, qu’on affecte aujourd’hui d’ignorer, et qui fut l’un des plus dévoués et des plus clairvoyants parmi ceux qui luttèrent pour le triomphe de la classe ouvrière.