Makhno tiendra jusqu’en 1921. Couvert de blessures, ses derniers hommes l’évacueront sur un brancard, il se réfugie à Paris.
Makhno continue de vivre, ouvrier chez Renault, rongé par la maladie et le chagrin.
Les services secrets soviétiques l’accusent d’actes antisémites et de pogroms.