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Gustav Landauer
Gustav Landauer, né le 7 avril 1870 à Karlsruhe et mort le 2 mai 1919 à Munich, était un anarchiste et révolutionnaire allemand d’origine juive. Il fut le principal théoricien du socialisme libertaire en Allemagne.
Articles
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Augustin Souchy 1 - Attention : anarchiste ! [04]
25 novembre 2019, par Augustin Souchy
Je ne tins pas longtemps dans notre petite ville : la soif de savoir et la faim d’aventures vécues m’en firent bientôt partir. Un voyage de nuit en quatrième classe me mena, pour 9,50 marks, à Berlin.
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Augustin Souchy 1 - Attention : anarchiste ! [05]
26 novembre 2019, par Augustin Souchy
Lors d’une réunion électorale dans laquelle Klara Zetkin défendait les couleurs du parti social-démocrate et Gustav Landauer exposait ses idées sur le socialisme, je me décidai pour le dernier. La personnalité de Gustav Landauer correspondait à l’idée que je m’en était faite à la lecture de ses livres et articles. Sa haute et mince silhouette, son visage finement découpé entouré d’une barbe de Christ, le front intelligent, ses yeux visionnaires semblant chercher un lointain utopique, tout (…)
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Sortir de l’État - Gustav Landauer
2 décembre 2022, par Gustav Landauer
« Que celui dont les convictions ne s’accordent pas avec celles de l’Église dont il est formellement membre par sa naissance, sorte de cette communauté religieuse avec laquelle il n’a rien en commun ; et que celui qui ne partage pas les principes, les dispositions, les procédures en vigueur dans l’État où il est né, annonce sa sortie de cette communauté étatique. »
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[BD] De la révolution des Conseils de Bavière à la montée du nazisme [4]
12 septembre 2019, par OLT,
Yves B.
Peu après, le gouvernement social-démocrate mobilise l’armée et les corps-francs (groupes paramilitaires d’extrême-droite) pour écraser la République des conseils.
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V - La Seconde République des Conseils (14 avril - 30 avril 1919)
24 mai 2019, par Partage Noir
Sous la direction d’un certain Aschenbrenner, les putschistes occupent la gare et attendent l’armée d’Hoffmann qui se dirige vers Munich. Mais les ouvriers ne veulent pas renoncer à la république. Spontanément la défense s’organise alors que les révolutionnaires ne disposent que de quelques fusils. Pourtant l’élan est tel qu’ils repoussent partout les soldats. A dix heures les ouvriers ont repris la gare et les principaux bâtiments. La dernière résistance vient du lycée Luipold où se sont (…)