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Mémoires secrets (1789-1792) - Fournier L’Américain
Voici des extraits significatifs des mémoires de celui qui fut surnommé le « Condottiere de la Révolution ». Technicien des insurrections de 1789, Fournier l’Américain (1745-1825) nous dévoile ici leurs mécanismes.
PARTAGE NOIR - 1991
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Mémoires secrets (1789-1792) - Fournier L’Américain [PDF]
1er juin 2019, par Partage Noir
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Mémoires secrets (1789-1792) - Fournier L’Américain - Brochure
1er juin 2019, par Partage Noir
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Fournier, l’aventurier
23 août 2019, par Partage Noir
Etrange destinée que celle de Fournier « l’Américain » ! Qualifié de « brute sanguinaire », de « fou » (Michelet), de « condottiere » (Aulard), il n’a fait l’objet que de peu d’études et ses torts, s’il en eut, sont bien minimes à côté de ceux des « grandes » figures de la Révolution : Danton, Robespierre, Marat, Hébert...
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I. La prise de la Bastille (13, 14 et 15 juillet 1789)
24 août 2019, par Fournier L’Américain
Déjà l’on était bien pénétré que le temps était venu de travailler à la conquête de la liberté ; ainsi chacun sentait qu’aucun moment n’était à perdre. Tous les bons citoyens étaient en état de surveillance permanente. L’annonce des dangers avait fait porter le peuple, dès les quatre heures du matin, au Palais-Royal, aujourd’hui le jardin de l’Égalité.
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II. Voyage à Versailles (5 octobre 1789)
25 août 2019, par Fournier L’Américain
Depuis que l’intrigue perverse des deux directeurs de la France m’avait supplanté pour mettre à ma place un grand scélérat, j’étais resté coi dans mon asile, après m’être écrié comme Brutus : « Ô vertu ! tu n’es donc bonne à rien sur cette terre dépravée ! »
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III. Le Champ-de-Mars (17 juillet 1791)
26 août 2019, par Fournier L’Américain
Le fameux arrêté que le club des Cordeliers, toujours actif et rigidement surveillant, prit ce jour-là pour inviter le peuple à aller signer l’immortelle pétition du Champ-de-Mars... Je fis faire aussitôt une bannière et j’y fis graver ce sublime arrêté que je retrace ici...
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IV. La prise des Tuileries (10 août 1792)
27 août 2019, par Fournier L’Américain
Si le peuple s’en était toujours (remis) à ses représentants pour faire les révolutions, sans doute il serait encore esclave. tes législateurs français n’ont montré de véritable énergie que toutes les fois que le peuple s’est levé et qu’il les a forcés à en prendre. Hors ces cas, combien n’ont-ils pas semblé agir souvent comme s’ils eussent été d’accord avec les conspirateurs ! Ici, il s’en présente un notable exemple.
Dès le 6, époque où nous avons publié les crimes de Lafayette, j’étais (…)
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V. Au théâtre (1791 ?)
28 août 2019, par Fournier L’Américain
L’aristocratie s’était promis d’inoculer l’incivisme par les canaux des théâtres. Cette maudite pièce de... fut celle qui fit le plus de fortune et avec laquelle les bas flatteurs du royalisme le plus lâchement aux patriotes. Impatienté, je dis un jour à bon nombre de ces derniers : Rendons-nous en force au Panthéon (sic), et vous verrez que nous saurons nous venger de toutes ces bravades trop longtemps souffertes. Nous partons : A bas la pièce et les aristocrates ! nous écrions-nous dès (…)
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Idées générales sur les moyens de rétablir l’ordre dans les colonies de Saint-Domingue, de ranimer l’agriculture et raviver le commerce
29 août 2019, par Fournier L’Américain
Les intrigues des ennemis de la Révolution, parmi lesquels on doit compter les grands propriétaires, sont la première source des malheurs de la colonie de Saint-Domingue. Tout le monde sait combien la correspondance du club Massiac.