Ascaso appartenait au groupe libertaire « Nosotros » (Durruti, Oliver, etc.).
Durant l’insurrection, par son système de communications, il dirigeait les renforts vers les points menacés.
Mémoires catalanes 1936
BD de Cyril
Ascaso appartenait au groupe libertaire « Nosotros » (Durruti, Oliver, etc.).
Durant l’insurrection, par son système de communications, il dirigeait les renforts vers les points menacés.
L’attitude des femmes de Barcelone sera déterminante lors de la riposte populaire au coup d’État militaire. Elles édifiaient des barricades, faisaient le coup de feu et tinrent les premières cantines populaires destinées aux ouvriers-combattants. Cet acte spontané préfigure les collectivisations.
Le rôle de la Guardia Civil fut assez ambigu. Certaines sections passèrent du côté des militaires factieux. D’autres unités restèrent prudemment dans leurs casernes. D’autres enfin, encadrées par les ouvriers en armes, permirent la reddition de certaines unités putschistes.
Les hommes de la Fédération #anarchiste ibérique (#FAI) étaient pratiquement les seuls à posséder une expérience des combats de rues. Ici, un militant tire à la mitrailleuse Hotchkiss sur un nid de résistance factieux... Ces armes étaient prises dans les casernes, ou cédées par les soldats lors des fraternisations. On note le Mono Azul, les espadrilles et le couteau (Navaja) à la ceinture.
Afin de mater le putsch des militaires factieux, les Asaltos combattaient provisoirement du côté des ouvriers. Ils se battaient sans tuniques, pour éviter les méprises.