Novembre 1936. Remontant par le sud, légionnaires et marocains du général factieux Varela se heurtent, aux abords de Madrid, aux milices syndicales de l’UGT et de la CNT La tentative de putsch franquiste, commencée comme une simple balade militaire de type colonial, virait soudain au cauchemar...
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Buenaventura Durruti
Buenaventura Durruti Dumange est une des figures principales de l’anarchisme espagnol avant et pendant la révolution sociale espagnole de 1936. Jeune ouvrier mécanicien, Durruti déserte l’armée et s’exile en France.
Articles
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[BD] 1936 - Le miracle de Madrid [01]
6 octobre 2020, par Cyril -
Durruti : Le peuple en armes
10 décembre 2022, par Georges HostPourquoi au sein d’une revue consacrée à Durruti aborder le problème de l’organisation du peuple en armes pendant la révolution espagnole, ainsi que les questions militaires auxquelles nos compagnons se sont heurtés ? Si les milices ne sont pas Durruti, Durruti est certainement l’âme de ces milices, le symbole et le représentant de ces milliers d’hommes et de femmes, ouvriers et paysans antimilitaristes combattants de la seule guerre utile, celle de la révolution sociale.
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[BD] Au pays de Durruti - Mémoires catalanes 1936 [PDF]
9 octobre 2019, par Partage NoirPARTAGE NOIR - 2019
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[12] Augustin Souchy - Buenaventura Durruti
14 juillet 2024, par Augustin SouchyComme secrétaire de l’AIT, j’entretenais des contacts étroits avec les anarcho-syndicalistes espagnols qui, sous la dictature de Primo de Rivera, menaient un combat commun avec la gauche catalane. Ce fut je crois en 1927, que le leader du mouvement autonomiste catalan, le colonel Francesc Macià i Llusa, nous rendit visite, dans l’espoir d’obtenir des aides financières pour le combat commun. Je dus lui ôter ses illusions, car l’internationale syndicale était financièrement peu riche. Il se (…)
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Durruti : De la révolte à la révolution
19 août, par Abel PazBuenaventura Durruti y Domingo, fils de Santiago — un cheminot — et d’Anastasia, naquit le 14 juillet 1896 à Léon.
A l’âge de cinq ans, il fréquenta l’école primaire, et à neuf ans le lycée de la rue Misericordia que dirigeait le professeur Ricardo Fanjul. L’appréciation que le professeur donna de Durruti, à la fin de ses études, fut :Élève doué pour les lettres, dissipé, mais aux sentiments nobles
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[BD-13] La marche de la Colonne Durruti (Catalogne-Aragon, fin juillet 1936)
22 octobre 2019, par CyrilPartie le 24 juillet à midi de Barcelone, la Colonne monte sur Saragosse, place forte de l’Aragon aux mains des militaires. La structure des milices est de type libertaire : absence de grades, élection des responsables...
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La Révolution entre l’Aragon et Madrid
18 juillet 2024, par Diego CamachoLe déplacement de Durruti à Madrid, en novembre 1936, peut être considéré comme une attaque directe contre le bastion révolutionnaire du front d’Aragon ; est-ce dire en cela que Durruti était la révolution en Aragon ? En aucune façon. La révolution en Aragon était dans les centaines, les milliers de combattants qui se battaient sur ce front, et dans les milliers de paysans qui labouraient les terres du monde nouveau. Durruti n’était pas autre chose que ce que les circonstances et sa volonté (…)
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[BD] 1936 - Le miracle de Madrid [06]
11 octobre 2020, par CyrilLe 14, la Colonne Durruti, composée d’anarcho-syndicalistes catalans et aragonais entre, en partie, à Madrid.
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Argentine : La solitude des expropriateurs de fonds
9 mai 2022, par AlfredLe mouvement libertaire argentin fut, après celui d’Espagne, l’un des plus puissants du monde. Ce mouvement s’est développé dans la seconde moitié du XIXe siècle, sous l’influence de l’émigration européenne. La FORA, fondée en 1901, compte bientôt 250 000 membres. Les luttes ouvrières se multiplient au début du siècle, jusqu’à prendre une dimension insurrectionnelle du 7 au 16 janvier 1919, les ouvriers pillant les armureries pour faire face à la violence policière conjuguée à celle des groupes fascistes paramilitaires, qui se regroupent au sein de la Ligue patriotique pour semer la terreur contre la « subversion cosmopolite »... Les insurgés sont massacrés tandis que le pouvoir négocie avec les syndicats réformistes. Cette « semaine sanglante » se solde par 700 morts, 2 000 blessés et 50 000 arrestations.
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Cahier d’un milicien dans les rangs de la CNT-FAI [06]
28 mars 2023, par Albert MinnigLa nuit vient, mais nous sommes peu rassurés, car des bruits de camions nous laissent supposer que les fascistes reçoivent du renfort. La nuit passe lentement en travaillant à de petites fortifications, tout en répondant aux fascistes qui tirent avec des balles lumineuses. Les camarades qui établit partis à la recherche du capitaine reviennent sans l’avoir trouvé.
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