Exposant les théories socialistes, il a une attitude négative pour les saint-simoniens et les soi-disant Utopistes, surtout Cabet, parce qu’ils fondaient leur système sur une hiérarchie d’administrateurs, et se montre au contraire enthousiasmé par la théorie communaliste de Fourier . Et il repousse le collectivisme de l’État parce que, quoi modifiant notablement le régime capitaliste, il ne détruit pas pour autant le salariat, puisque l’État ou le gouvernement représentatif national ou (...)
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Pierre Kropotkine fédéraliste - III - Le communalisme
28 avril, par Camillo Berneri -
Pierre Kropotkine fédéraliste - II - La critique
27 avril, par Camillo BerneriDes articles que Kropotkine publie, entre 1879 et 1888, dans Le Révolté de Genève, il parait évident que la vie administrative des États occidentaux ne lui offrit qu’une nouvelle matière à la critique anti-étatique et le confirma toujours plus dans ses idées fédéralistes et libertaires. Partout où il y a centralisation, la bureaucratie se renforce, une armée d’employés, véritables araignées aux doigts crochus, qui ne voient l’univers qu’à travers les vitres sales de leur bureau et ne le (...)
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Pierre Kropotkine fédéraliste - I - Expériences
26 avril, par Camillo BerneriL’autobiographie claire et détaillée de Kropotkine (Mémoires d’un Révolutionnaire) nous permet de suivre pas à pas les phases particulières de formation de sa pensée fédéraliste.
A dix-neuf ans, officier de cosaques, il se rend dans la Transbaïkalie, où il s’intéresse avec passion aux grandes réformes commencées en 1868 par le gouvernement et confiées à l’Administration Supérieure de la Sibérie. Secrétaire des comités gouvernementaux, au contact des meilleurs fonctionnaires, il (...) -
Pierre Kropotkine fédéraliste - Introduction
25 avril, par Camillo BerneriUn des côtés les plus intéressants de la pensée politique de Pierre Kropotkine est le fédéralisme, thème qui revient si fréquemment dans ses écrits et qui constitue une des bases de son idéologie anarchiste. Le fédéralisme kropotkinien, tout en n’étant pas une théorie systématique, et tout en ne se différenciant pas profondément du fédéralisme de Proudhon et Bakounine, présente plusieurs caractéristiques qui en rendent l’examen intéressant.
Un tel examen demande un rappel (...) -
[BD] L’épitaphe de Séverine :
24 avril, par Partage NoirJ’ai toujours travaillé pour la paix, la justice et la fraternité
- Brochure [PDF]Les brochures Partage Noir sont réalisées avec les logiciels libres #GIMP #Inkscape #Scribus
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« Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent. »
24 avril, par Pierre Kropotkine -
Karl Marx ou la perversion du socialisme - Présentation de l’auteur
24 avrilPrincipaux titres et responsabilités actuels Conseiller permanent du Centre International de Formation Européenne. Membre du Comité Directeur et du Bureau du C.I.F.E. Président d’honneur de l’Union européenne fédéraliste et membre du Conseil du mouvement fédéraliste européen. Research fellow of the Center for the Study of Federalism, Temple University (Philadelphia, Pa.), and of the Jerusalem Institute for Federal Studies. Initiateur du Forum des Initiatives Européennes et Fédéralistes (...)
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Karl Marx ou la perversion du socialisme - 24. La doctrine... introuvable
23 avril, par Alexandre MarcJamais, peut-être, cette affirmation de Lénine n’a été aussi vraie que de nos jours : pour briser le cercle vicieux dans lequel se coulent, inséparables, le conformisme, la réforme et la révolte, il faut une doctrine révolutionnaire : réfractaire aux fluctuations de la mode, mais ouverte à tous les problèmes de notre temps ; vivifiante et novatrice, mais respectueuse de ce qui, dans nos traditions, ne s’est pas encore transformé en bois mort ; explosive et constructrice à la fois ; bref (...)
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Programmes de Radio Libertaire du 22 au 28 avril 2024
22 avrilDemandez le programme de #RadioLibertaire 89.4 MHz Paris - #podcasts #RSS #Stream ---> https://buff.ly/3W7juq2
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Karl Marx ou la perversion du socialisme - 23. « La Révolution nécessaire » (R. Aron et A. Dandieu)
22 avril, par Alexandre MarcA l’égard d’une entreprise de cette envergure, les conservateurs, les réactionnaires, les réformistes et les révoltés, pour parler vulgairement, ne font pas le poids. Pour ainsi dire congénitalement, intrinsèquement, ils sont condamnés à l’impuissance et à l’échec. Ils ne sont pas de taille à résister au monstre dont l’ombre obscurcit déjà l’horizon de notre à-venir. Du reste, le veulent-ils vraiment, ne sont-ils pas secrètement fascinés par la puissance de la bête, ne se résignent-ils (...)