L’immense coup de filet ne donna pas les résultats qu’on espérait. Emprisonner des milliers d’individus, c’était joli, mais encore fallait-il sauver les apparences et faire mine de légalité.
Articles les plus récents
-
Jean Grave (1854-1939) [06]
7 février 2020, par Victor Méric - Flax -
Jean Grave (1854-1939) [05]
6 février 2020, par Victor Méric - FlaxAprès les bombes de Ravachol, de Vaillant, d’Emile Henry, la bourgeoisie affolée se livra à une répression sauvage. Les anarchistes furent traqués comme des bêtes fauves.
-
Jean Grave (1854-1939) [04]
5 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl s’occupa plusieurs années du Révolté qui demeure l’un des journaux les plus intéressants, au point de vue de l’histoire du mouvement anarchiste.
-
Jean Grave (1854-1939) [03]
4 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl est né dans le Puy-de-Dôme, à Saint-Germain-Lembron en 1854. Son père était cordonnier et lui apprit son métier.
-
Jean Grave (1854-1939) [02]
3 février 2020, par Victor Méric - FlaxDe plus Jean Grave est très fermé. C’est l’homme le moins loquace de la création. Il ne dit rien. Il ne veut rien dire sur lui.
-
Jean Grave (1854-1939) [01]
2 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl n’y a pas grand’chose à dire sur cet homme. Comme les peuples heureux, Jean Grave n’a pas d’histoire — pas même de sales histoires qui puissent permettre à la malignité de s’exercer.
-
Anarchistes et communistes dans le mouvement des Conseils à Turin (1919-1920) - Brochure
1er février 2020, par Partage NoirPARTAGE NOIR 2020
-
Anarchistes et communistes dans le mouvement des Conseils à Turin (1919-1920) - [PDF]
31 janvier 2020, par Partage NoirPARTAGE NOIR 2020
-
Annexe - Luigi Fabbri
30 janvier 2020, par Luigi FabbriSi elle s’était étendue à toutes les autres catégories professionnelles, et si elle avait été soutenue par les partis et les organisations du prolétariat, l’occupation des usines, en août-septembre 1920, aurait pu entraîner une des révolutions les plus radicales et les moins sanglantes que l’on puisse imaginer.
-
Annexe - « Deux jugements historiques sur les conseils en Italie »
29 janvier 2020, par Errico MalatestaUmanità Nova du 28 juin 1922.
L’occupations des usines. — Les ouvriers métallurgistes commencèrent le mouvement pour des questions de salaires. Il s’agissait d’une grève d’un genre nouveau. Au lieu d’abandonner les usines, ils restaient dedans sans travailler, en les gardant nuit et jour pour que les patrons ne puissent lock-outer.
Mais on était en 1920. Toute l’Italie prolétarienne tremblait de fièvre révolutionnaire, et le mouvement changea rapidement de caractère. Les ouvriers (...)